07/10/2015


TOP 10 de mes films (Presque) préférés



Bon ok, faire ce TOP fut hyper compliqué. Trouver seulement 10 films à mettre dans cette liste fut (et est toujours) un véritable défi, un combat acharné avec moi-même. J’ai tenté un parti prit ; il n’y a dans cette liste que des films « coup de cœur », pas forcément des graaands classiques mais des films qui me parlent, qui signifient quelques choses pour moi. Bien sur, je suis comme tout le monde et dans ma summum liste officiel de mes films préférés il y a les Forest Gump, Pulp Fiction, Figth Club et autres Man On Fire ou Lord Of War, Requiem for a dream ou Transpoting, ou bien sur Le seigneur des anneaux. Des bons films il y en a des tas ! Dans cette liste il n’y aura pas non plus les chefs d’œuvre du septième art du style Autant en emporte le vent, Le Parain ou le maitre de tous Citizen Kane d’Orson Wells. Dans cette liste il y aura plutôt de la poésie, de la nostalgie, de l’émotion (mes émotions) et quelques larmes (mes larmes)…


God Bless America, Bobcat Goldthwait, 2012.

Frank Murdoch, quarantenaire divorcé récemment licencié, et Roxy, lycéenne rebelle, partent en cavale et tuent toutes les personnes les plus stupides et irrespectueuses qu’ils croisent sur leur chemin jusqu’à l’apothéose sur le plateau d’American Superstar. Pas vraiment de poésie ni de larmes dans ce chef d’œuvre mais une réelle critique de notre société du sur-égo ! Totalement immorale ! A voir absolument !


Benny & Joon, Jeremiah S. Chechik, 1993 et Arizona Dream, Emir Kusturica, 1993.

Deux films de 1993. Deux films avec Johnny Depp, à l’époque où il faisait encore des bons films. Pourquoi ces deux films et pourquoi ensemble ? Parce que je trouve qu’ils se ressemblent. Ils sont tous les deux portés par un sublime Johnny Depp, décalés. Se sont deux films magnifiquement poétiques empreints de doux rêves bercés part de superbes bandes originales. Le genre de films chargés en émotions qui vous transportent, qui vous donnent le sourire et vous font passer un vrai bon moment. Authentique.


Tchao Pantin, Claude Berri, 1983.

Coluche drôle. Coluche dramatique. Il sait tout faire, il sait tout jouer, et peut être même encore plus la tragédie. Coluche obtiendra, non sans mérite, le César du meilleur acteur pour ce film sombre et puissant et déclarera à l’occasion : « Le cinéma français vit de ses comédies et récompense ses drames. »


Le premier jour du reste de ta vie, Remi Bezançon, 2008.

Un autre film français. Mon film français préféré ! Un père, une mère et trois enfants. Une famille et les jours les plus importants de leur vie. Famille des plus ordinaires ; études, conflits, amours, drogues, mort, nostalgie… Tout y passe et tout le monde s’y retrouve.


Good Morning England, Richard Curtis, 2009.

1966, depuis la Mer du nord, Radio Rock, une radio pirate britannique diffuse sur les ondes ce nouveau genre prohibé par la bien pensance anglaise : le rock. Depuis les mers internationales, le gouvernement à bien du mal à faire taire sexe, drogue, rock’n’roll et fuck de ses antennes. Pourtant, une personne sur deux est à l’écoute. Tout au long du film nous sommes transportés par le rythme rock et la musique des sixties. Le Comte, Quentin, Dr Dave, Carl, tous les personnes sont attachants. Hilarant !




Le roi lion, Roger Allers et Rob Minkoff, 1994.

Le premier film que je suis allé voir au cinéma. Mon Disney préféré et sans doute même mon dessin animé préféré ! Pour plus : Mon Roi Lion
 

Prince Noir, Caroline Tompson, 1994.

LE film de mon enfance ! L’histoire, contée par lui-même, d’un cheval à la robe noir. Je ne garde de ce film que le souvenir innocent de l’enfant que j’étais. Je ne l’ai jamais revu depuis ces douces années mais je me rappelle encore de cette bande originale magnifique et de la voix du Prince Noir. L’histoire n’est pas des plus joyeuses, mais, à en croire mon esprit, des plus marquantes !


The Artist, Michel Hazanavicius, 2011.

Un film qui laisse sans voix… The Artist, ou l’hymne au 7ème Art, un retour aux sources. Ce chef d’œuvre inter-mondialiste, muet, en noir et blanc, sur fond d’histoire d’amour impossible et la descente aux enfers d’un homme, nous frappe toutes fois par sa modernité. Jamais les américains n’auront autant apprécié que les français se taisent ! Et ils le leur ont bien fait comprendre avec 5 Oscars, dont les plus prestigieux. The Artist, propulsent également sous les projecteurs Michel Hazanavicius, Jean Dujardin, le nouveau Bankable, et la toute aussi sublime que timide, Bérénice Bejo.


Le secret de Brokeback Mountain, Ang Lee, 2005.

Ennis et Jack, deux cow-boys, se rencontrent le temps d’une saison de berger dans les montagnes. De là, nait un véritable amour. Séparés, ils se retrouvent 4 ans plus tard tous les deux mariés et père de famille. Pourtant leur amour l’un pour l’autre est intact et persévérera non sans embuche dans le dos de leur femme respective jusqu’à l’assassinat homophobe de Jack. Film dur, sur l’homosexualité et la tolérance.



The Grand Budapest Hotel, 2014 et Moonrise Kingdom, Wes Anderson, 2012.

Deux films de Wes Anderson. Difficile de les départager. Ils incarnent pour moi tous les deux cette même légèreté et ce même esthétisme que j’aime. C’est justement ça la patte Anderson, donc j’ai décidé de ne pas les séparer. L’un, le plus récent, fait de nombreux flash back, nous raconte l’histoire de Mr Gustave et de son jeune protégé Zéro, intimement lié à un tableau et au fameux palace. L’autre, de 2012, nous compte une gentille « chasse à l’homme », chasse au couple, sur une île de scout. Sam et Suzy, 12 ans, s’y retrouve et partent en cavale. Toute l’île est sans dessus dessous pour retrouver les amoureux fugueurs.

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